
Les enseignants du territoire D’IRUMU traversent un calvaire suite au non payement de leurs salaires par la banque caritas Bunia. Selon un défenseur des Selon Monsieur MUNYA’DERU, un défenseur des Droits Humains, invité dans Assemblée, les commandons armés des craies ont à l’issue de leur assemblée générale extraordinaire, ils ont sorti une déclaration contenant plusieurs dénonciations et revendications. « Nous enseignants déplacés d’Irumu, dénonçons ce qui suit:
1)le retard exagéré de la paie des enseignants par caritas en partenariat avec la banque ifod qui songent avec un grand retard à notre paie et pourtant c’est notre droits.
2)la tracasserie des enseignants par certains chefs d’établissement lors de la réception du salaire en imposant des montants exorbitants des fêtes, des cérémonies, d’accueil, des dîmes, des constructions des maisons pastorales et d’autres imposent le montant manquant dans l’enveloppe salariale lors du partage;
3)la non remise des listings propres par la dite banque qui nous met dans la confusion du salaire mensuel octroyé par le gouvernement.
Ainsi,demandons des enquêtes sérieuses de la part des syndicalistes et que le gouvernement cherche une autre banque ou partenaire qui pourra subvenir à temps au opportun aux besoins des enseignants en détresse car le salaire est sacré et inaliénable selon le code 22.
Toutes nos tentatives de joindre incriminée, la banque Caritas Bunia, ont accouché d’une souris.
Consécutivement aux affres de guerre dans cette partie de l’Ituri, pour rappel, plusieurs écoles primaires et secondaires du territoire d’Irumu se sont déjà déplacer de leur village pour fonctionner à Irumu, un milieu jugé sécurisé.
Serge TSONGO KASEREKA
